Ce n'est pas un matin comme les autres. Maman me dit que je peux rester encore au lit, car il n'y a pas d'école. Le bus scolaire est resté bloqué... par la neige. La neigeoe! Mais je n'ai pas envie de rester au lit! Je veux vite mettre mes chaussures et courir dehors! Malheureusement, maman dit non. «Quand il aura cessé de neiger. Sinon, tu vas attraper un rhume.» Il faut se contenter d'une toute petite sortie sur le balcon. Tout est si calme dehors, ni voitures, ni passants. Nous écoutons le silence de la neige qui tombe et nous avons l'impression d'être seuls sur la terre. À midi, la neige tombe encore, et à l'heure du goûter aussi. Le soir, à la télévision, un monsieur explique que tant qu'il neige, l'avion qui doit ramener papa à la maison ne peut décoller... Mais comme une journée si étrange ne peut s'achever que de manière extraordinaire, c'est à l'heure du coucher et sous les étoiles que le petit garçon de cette histoire pourra enfin jouer dans la neige.
Quel bonheur d'être réveillée avant tout le monde ! Ce matin-là, quand petite Anna ouvre un oeil, tout est noir alentour. Seul le chat Shiro s'étire déjà sur ses pattes. C'est le moment rêvé pour faire ce qu'on aime en toute liberté. Descendre sans faire de bruit, chiper des cerises et du lait en cachette, regarder la lune, piquer la poupée de sa grande soeur, et puis sa boîte à musique, et encore ses crayons de couleur. sans reproche et sans peur. Mais comme tout ce travail est bien fatigant, il est doux, quand tout s'éveille enfin, d'aller. se rendormir !
Le marchand a donné un ballon à Akiko. Les ballons sont faits pour s'envoler. C'est pour ça qu'on leur met une ficelle. Chaque fois qu'Akiko lâche la ficelle, le ballon monte au plafond. Heureusement, maman a une idée formidable: elle attache une cuiller à l'extrémité de la ficelle. Maintenant, le ballon flotte. Il est juste à la hauteur d'Akiko. Alors elle l'emporte au jardin, cueille des fleurs pour lui et lui propose du thé. Ce que voudrait Akiko, c'est dîner avec le ballon, dormir avec le ballon, et qu'il reste toujours avec elle. Mais les ballons sont faits pour s'envoler. Alors comment faire pour ne pas être tristeoe Une merveille d'intimisme et de délicatesse venue du Japon.
Bonjour, joli papillon jaune. Mais où vas-tu ? Ne t'en va pas ! Viens pigeon ! Viens jouer avec moi... Attends ! Ne bouge pas. Bébé veut dire bonjour au papillon, au lézard, au pigeon, au chat, mais ils prennent tous la poudre d'escampette.A partir de 2 ans.
Que c'est dur pour un lapinou, parfois, d'avoir une maman qui ne fait pas tout ce qu'il veut. Alors, Lapinou la critique, la déteste et va s'en aller pour toujours... Pour toujours ?
Pas vraiment car il a oublié quelque chose ! Maman est toujours là, bien plus aimante qu'il n'avait imaginé. On a toujours besoin d'être rassuré.
Un album tendre et malicieux qui parle de chacun.
Les choses que Fillette aime : les locomotives à vapeur, les nuages de fumée, les sifflements stridents, les passerelles métalliques, avoir peur. Les autres petites filles (de deux à six ans), les animaux en peluche, être maîtresse d'école. Le silence des bibliothèques, le silence de la neige, le silence du matin. Arriver la première au jardin d'enfants, ne pas être grondée par sa maman, avoir la paix. Regarder les fleurs de l'étang, sucer son pouce, pleurer, rêver peut-être...
"Comment guérir d'une blessure ? Comment combler un vide ? Comment supporter une absence ? Comment survivre à la mort d'un être cher ? L'ours croit qu'il n'y arrivera pas.Qu'il restera inconsolable du départ de son ami le petit oiseau.
Il ne se sépare plus du cercueil qu'il lui a fabriqué.
Mais c'est en acceptant de passer par toutes les étapes de la souffrance et du deuil - révolte, souvenirs, chagrin, solitude.- qu'il va enfin reprendre goût à la vie, et faire de nouvelles rencontres."
A little rabbit enjoys having a day off from kindergarten and spending time with his mother during a snowstorm, but his father's flight home is cancelled until the snow stops falling.
Papa, Maman et mon grand frère se baignent et jouent dans la rivière. Moi, je préfère suivre un papillon qui passe à tire-d'aile. Il s'envole vers la prairie qui sent bon le dentifrice. Je lui cours après, il ne m'attend pas. Je m'enfonce dans les hautes herbes. Seul mon chapeau dépasse. Le vent se lève. Ouille, ça chatouille ! Le papillon a disparu mais, tiens, voilà une sauterelle. Je ferme les yeux. Tout ça devient un peu inquiétant. J'entends toutes sortes de bruits et de craquements. Où est Maman ?
Comment guérir d'une blessure ? Comment combler un vide ? Comment supporter une absence ? Comment survivre à la mort d'un être cher ? L'ours croit qu'il n'y arrivera pas. Qu'il restera inconsolable du départ de son ami le petit oiseau. Il ne se sépare plus du cercueil qu'il lui a fabriqué. Mais c'est en acceptant de passer par toutes les étapes de la souffrance et du deuil - révolte, souvenirs, chagrin, solitude... - qu'il va enfin reprendre goût à la vie, et faire de nouvelles rencontres.
Tandis que tout dort... - Quel bonheur d'être réveillée avant tout le monde ! Ce matin là, quand petite Anna ouvre un oeil, tout est noir alentour. Seul le chat Shiro s'étire déjà sur ses pattes. C'est le moment rêvé pour faire ce qu'on aime en toute liberté. Descendre sans bruit, chiper des cerises et du lait en cachette, regarder la lune, piquer la poupée de sa grande soeur, et puis sa boîte à musique, et encore ses crayons de couleur... sans reproches et sans peur. Mais comme tout ce travail est bien fatigant, il est doux, quand tout s'éveille enfin, d'aller... se rendormir !
Bonjour, joli papillon jaune. Mais où vas-tu ? Ne t'en va pas ! Viens pigeon ! Viens jouer avec moi... Attends! Ne bouge pas... Bébé veut dire bonjour au papillon, au lézard, au pigeon, au chat, mais ils prennent tous la poudre d'escampette... Le miracle que réalise Komako Sakaï, c'est de montrer avec une grande simplicité les situations de la vie des tout-petits en laissant affleurer toute l'émotion qu'elles contiennent pour eux. Grâce à un dessin intimiste, d'une justesse sidérante, elle saisit l'instant : l'élan du désir, et le pincement de la déception aussitôt chassé par un nouveau désir.
Que faire quand une maman chat se présente à la porte avec ses enfants et puis abandonne sur le seuil son nouveau-né ? Entre mamans, on se comprend. Celle de Lina décide d'adopter le chaton. La petite fille, elle, est un peu dégoûtée : il a les yeux tout collés, il est chétif, il a l'air malade... et si on en prenait un beau ? Heureusement, à force de soins, le petit chat se requinque, au point de s'échapper... Alors Lina comprend qu'elle l'aime. Reste à lui trouver un nom qui lui ira comme un gant. A partir de 3 ans.
Les hommes font rêver les sirènes, c'est bien connu. Leurs villes sont belles, lumineuses. Ils sont bons, généreux, hospitaliers. Pourquoi ne pas vivre parmi eux, plutôt qu'au fond des mers glacées? C'est ainsi qu'une sirène qui portait un enfant décida de le mettre au monde une nuit, en cachette, au pied d'un petit temple, afin qu'il soit recueilli par des humains et qu'il grandisse dans la joie. Si elle avait pu imaginer quel sort attendait sa fille, jamais elle ne l'aurait abandonnée.